Reçu par Washington, Londres ou Moscou, Nicolas Sarkozy a moins de chance à Berne. Alexander Tschäppät, maire de la ville, et les autorités cantonales bernoises ont tranché. Il n'y aura pas de passe-droit pour le président français qui n'a pas pu obtenir un fauteuil à la tribune VIP du Wankdorf: il n'y en a plus de libre.